• 93 % des répondants considèrent qu’une démarche d’optimisation de coûts a une incidence directe sur la rentabilité de leur entreprise et près des deux tiers estiment qu’elle a un impact positif sur la création et le maintien des emplois.

• Effet crise oblige, les décideurs financiers ont davantage conscience des bénéfices sur le long terme du recours aux conseils en optimisation. Ainsi, 74 % d’entre eux estiment que la valeur ajoutée de ces prestations résident dans l’expertise et les stratégies innovantes apportées et un meilleur contrôle des risques. Pour 86 %, la démarche fait désormais partie des bonnes pratiques de gestion au quotidien. Ils sont 64 % à déclarer avoir déjà eu recours à un service de ce type contre 51 % en 2008. 91 % se montrent d’ailleurs satisfaits, voire très satisfaits, des prestations fournies par leurs conseils.

• 80 % des missions de conseil sont rémunérées en fonction des économies obtenues (success fees). 82 % des entreprises sont favorables à ce business model, désormais ancré dans les moeurs.

• Si les entreprises ont majoritairement acquis le réflexe d’optimisation de leurs charges fiscales et sociales, elles ont beaucoup moins conscience des leviers d’économie existants en matière d’achats directs ou de financement de l’innovation. La profession doit développer davantage son approche pédagogique pour accompagner ses clients dans ces domaines que les entreprises considèrent souvent à tort comme déjà maîtrisés.

Cette étude a été réalisée par la Junior ESSEC auprès de 200 décideurs financiers en août et septembre 2010.
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